Des étudiants en enseignement peinent à maîtriser la langue française. Jusqu’à la moitié des futurs enseignants échouent au premier essai le test obligatoire de certification en écrit pour l’enseignement, a rapporté lundi le Journal de Montréal. Pour le président de la Fédération autonome de l’enseignant (FAE), Sylvain Malette, il faut s’attaquer au problème sur plusieurs fronts.
Est-ce que le taux de réussite de 50% au test de certification en écrit pour l’enseignement représente la réalité sur le terrain, selon vous?