AILLEURS DANS LA FRANCOPHONIE

Les quatre étudiants de l’Université de Sherbrooke (UdeS) doivent sans doute compter les jours, voire les dodos : ils partiront sous peu pour un séjour dans une communauté francophone bien différente de la leur. Dans leur premier texte à propos de leur stage en enseignement qui approche, ils témoignent de leur motivation et de leur désir de découverte.
Un garçon, trois filles : Caroline, Véronique, Guillaume, Cindy. Intéressée par les voyages et la culture, Caroline Chénard estime avant tout que ce stage est pour elle un privilège. Elle s’interroge sur certains aspects de la communauté fransaskoise qu’elle va visiter, St-Isidore de Bellevue. Elle a bien hâte de voir la façon de vivre le français, l’identité et la culture là-bas. Quant à Véronique Plourde, qui effectuera son stage dans la même école, elle souhaite apprendre et développer ses capacités d’adaptation. Elle s’attend à rencontrer une communauté fière, sensible à la conservation de sa langue.
Se disant un mordu d’histoire et de culture, Guillaume Taillefer est très motivé à vivre quelques semaines dans une communauté qu’il ne connait pas vraiment, à Regina. Il espère que son stage éveillera une certaine conscience chez lui quant à la situation minoritaire de la langue française dans certains régions du pays. Seule des quatre de l’UdeS à partir pour l’Alberta, Cindy Mathieu veut vivre une expérience enrichissante remplie de découvertes. Elle désire connaitre une autre réalité ainsi qu’une autre vision du rôle de l’enseignant. Elle n’hésitera donc pas à sortir de sa zone de confort.
À ces quatre personnes motivées, l’ACELF souhaite de vivre une formidable expérience en francophonie canadienne! Bon stage!