Les juristes-traducteurs estiment avoir eu gain de cause définitivement dans leur bataille portant sur l’usage du français dans les prospectus et autres documents du milieu de la finance.
L’Association canadienne des juristes-traducteurs (ACJT) a reçu le mois dernier une lettre de la ministre responsable de la Charte de la langue française dans laquelle celle-ci souligne « toute la pertinence » de l’obligation légale de publier des documents de langue française.