Bilinguisme

Droit de travailler en français

Un droit qui n’est remis en question
 
La plus récente jurisprudence concernant le droit de travailler en français au Québec ne remet pas ce droit en question, a défendu le premier ministre hier, au Salon bleu. Même si les tribunaux ont jugé que si des employés occupent des postes où ils sont appelés ou peuvent être appelés à faire affaire avec une clientèle parlant anglais, l’employeur peut exiger qu’ils soient bilingues ou anglophones, Philippe Couillard refuse de parler d’affaiblissement de la Charte de la langue française.

Une nouvelle brèche dans la loi 101, s’inquiète le PQ

La décision de la Cour suprême de ne pas intervenir dans un dossier de bilinguisme à la Ville de Gatineau fait craindre à certains qu’un nombre grandissant d’administrations publiques exigent la connaissance de l’anglais.

La Cour suprême a refusé jeudi d’accorder la permission d’en appeler d’une décision de la Cour d’appel concernant l’exigence de bilinguisme pour un emploi à la Ville de Gatineau.

Le bilinguisme, yes sir!

Les trois quarts des francophones jugent que leur langue est menacée, mais tout juste un tiers des anglophones s'inquiètent pour l'avenir du français.
 
Ce constat, tiré d'un sondage mené pour Patrimoine canadien, peut sembler alarmant à première vue. Il peut donner l'impression d'un éloignement en cours des «deux solitudes» et d'un attachement à géométrie variable pour le bilinguisme du pays, comme le laissait entendre Le Devoir en manchette, hier.
 

Le français est-il vraiment menacé au Canada?

Un nouveau sondage commandé par la ville d'Ottawa révèle de profondes fractures entre les deux communautés linguistiques officielles du pays. Les trois quarts des francophones jugent la langue française menacée tandis qu'un tiers des anglophones partagent cet avis.
 

L’absence de bilinguisme chez les jeunes anglophones du pays menace la paix linguistique

Brandissant les plus récents chiffres disponibles, le président et chef de la direction de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain soutient que la relative paix linguistique qui existe au Canada entre les francophones et les anglophones pourrait être victime du manque de bilinguisme chez les jeunes anglophones.
 

Bilinguisme à la Cour suprême : Yvon Godin déçu du gouvernement Trudeau

L'ancien député néo-démocrate Yvon Godin, qui a longtemps milité pour que le bilinguisme soit obligatoire chez les nouveaux juges à la Cour suprême du Canada, est déçu de la prise de position du gouvernement libéral de Justin Trudeau en la matière.
 

Rogersville: des efforts pour vivre en français

Des craintes d’une anglicisation sournoise ont été soulevées à Rogersville, malgré le fait que plus de 90 % des affiches sont françaises ou bilingues.
 
Des affiches d’heures d’ouverture unilingue anglophone font jaser à Rogersville. Plusieurs citoyens estiment cependant qu’elles ne sont pas représentatives du paysage linguistique du village, où plus de 90 % des enseignes sont francophones ou bilingues.
 
Une lettre d’opinion du lecteur publié dans les pages de l’Acadie Nouvelle a fait réagir à Rogersville cette semaine.
 

Bilinguisme d'Ottawa : un élu souhaite aller plus loin

Le conseiller municipal Mathieu Fleury, du quartier Rideau-Vanier, croit que le maire d'Ottawa devrait montrer plus d'ouverture dans le dossier du bilinguisme.
 
La semaine dernière, le Mouvemement pour une capitale du Canada officiellement bilingue (MOCOB) souhaitait que le conseil municipal demande à la province de l'Ontario «d'adopter un projet de loi visant la reconnaissance de l'égalité des langues française et anglaise au sein de la Ville d'Ottawa»
 

Bilinguisme d'Ottawa: Jim Watson maintient sa position

Le maire d'Ottawa ne fléchit pas. La capitale nationale ne deviendra pas une ville officiellement bilingue.
 
Jim Watson n'a pas voulu commenter la nouvelle approche proposée par les principaux groupes francophones d'Ottawa, vendredi, pour changer le statut linguistique de la capitale fédérale. Par voie de courriel, un attaché de presse du premier magistrat a affirmé que sa position n'a pas changé.
 

Des excuses officielles aux Franco-Ontariens

La première ministre libérale Kathleen Wynne est disposée à présenter ses excuses aux Franco-Ontariens pour la directive gouvernementale de 1912 qui interdisait aux enseignants des écoles primaires de parler français avec leurs élèves.
 
Mme Wynne estime qu'il serait «très approprié» d'offrir les excuses officielles du gouvernement, afin de reconnaître que l'héritage de bilinguisme de la province n'a pas toujours été respecté.