En mars 2013, Christian Paradis, alors ministre responsable du Québec au sein du gouvernement fédéral, affirmait que « rien n’indique qu’une loi [fédérale] soit nécessaire afin de réglementer la langue de travail au Québec ». Cela faisait suite au dépôt d’un rapport sur la langue de travail dans les entreprises privées de compétence fédérale au Québec qui, pour la plupart, ne sont pas assujetties à la Loi [fédérale] sur les langues officielles (LLO).