Le mois dernier, à l’occasion de la Semaine de la Francophonie, de nombreux travailleurs qui oeuvrent sur le chantier du futur Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM) avaient déploré le fait que, en dépit des démarches faites auprès du consortium d’entreprises étrangères chargé du projet et auprès de l’Office québécois de la langue française (OQLF), l’anglais était toujours omniprésent dans les communications, les plans et devis et autres documents de travail.