Pour les immigrants qui ne maîtrisent pas le français, les cours de francisation sont bien souvent le salut. L’apprentissage leur permet de se débrouiller dans leur quotidien au Québec, mais aussi de parfaire leur formation et d’intégrer le marché du travail.
Certains immigrants qui franchissent la porte du Centre Yves-Thériault, dans le nord-est de Montréal, n’ont jamais tenu un crayon dans leur main. D’autres ont une profession dans leur pays d’origine et ont besoin d’apprendre le français pour obtenir leur droit de pratique au Québec. C’est avec ce profil d’étudiants diversifiés provenant d’environ 75 pays différents que ce centre dédié à la francisation de la Commission scolaire de Montréal tente de faciliter le chemin vers l’intégration.