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Centre Yves-Thériault

Pour les immigrants qui ne maîtrisent pas le français, les cours de francisation sont bien souvent le salut. L’apprentissage leur permet de se débrouiller dans leur quotidien au Québec, mais aussi de parfaire leur formation et d’intégrer le marché du travail.

Certains immigrants qui franchissent la porte du Centre Yves-Thériault, dans le nord-est de Montréal, n’ont jamais tenu un crayon dans leur main. D’autres ont une profession dans leur pays d’origine et ont besoin d’apprendre le français pour obtenir leur droit de pratique au Québec. C’est avec ce profil d’étudiants diversifiés provenant d’environ 75 pays différents que ce centre dédié à la francisation de la Commission scolaire de Montréal tente de faciliter le chemin vers l’intégration.

Un vent de francisation soufflerait-il sur l’aérospatiale?

Témoignage de Lucie Pratte, SCEP 522, CAE

« Ce qui est remarquable chez CAE, c’est que nous avons réussi à établir au sein du comité de francisation un solide partenariat entre les principaux acteurs du projet de francisation, c’est-à-dire l’Office québécois de la langue française, les représentants syndicaux et les représentants de l’entreprise. »

Un vent de francisation soufflerait-il sur l’aérospatiale?

Témoignage de Natalie Meunier, AIMTA-2468, Rolls-Royce

Nathalie Meunier est assistante technique chez Rolls-Royce, une entreprise qui emploie quelque 1300 personnes à Montréal et qui est reconnue pour son expertise en ingénierie et en réparation et révision de moteurs d’avion. Au chapitre de la francisation, Rolls-Royce tente de réaliser son programme depuis plus de 30 ans.