langue de travail

Recul du français comme langue de travail principale au Québec

Les milieux de travail bilingues sont plus courants au Québec qu’il y a dix ans, si bien que l’usage du français comme langue prédominante a quelque peu reculé, selon les plus récentes données du recensement. Une tendance qui s’explique en partie par la baisse du poids démographique des francophones.
 
Les anglophones et les allophones sont toutefois plus nombreux à parler ou écrire principalement en français au travail.
 

Droit de travailler en français

Un droit qui n’est remis en question
 
La plus récente jurisprudence concernant le droit de travailler en français au Québec ne remet pas ce droit en question, a défendu le premier ministre hier, au Salon bleu. Même si les tribunaux ont jugé que si des employés occupent des postes où ils sont appelés ou peuvent être appelés à faire affaire avec une clientèle parlant anglais, l’employeur peut exiger qu’ils soient bilingues ou anglophones, Philippe Couillard refuse de parler d’affaiblissement de la Charte de la langue française.

Langues officielles: les plaintes ont doublé dans la région

Le commissaire Graham Fraser a déposé son 10e et dernier rapport annuel jeudi. Dans le document, il reconnaît encore d'importants problèmes quant au respect de la Loi sur les langues officielles touchant l'accès à la justice et aux services fédéraux, ainsi que la langue de travail dans les institutions fédérales.
 

La français, langue de travail au World Trade Centre Winnipeg

« On voit maintenant l’impact de l’économie francophone ». – Mariette Mulaire

WINNIPEG - Mariette Mulaire a fait ses premières armes dans le mouvement des municipalités bilingues avant de cofonder, en 2013, le World Trade Centre Winnipeg. Fin avril 2015, les 300 membres de l’Association internationale des WTC l’ont élue à leur Conseil d’administration.

Pas de loi 101 pour les entreprises de compétence fédérale

Le ministre Jean-Marc Fournier craint la réaction des autres provinces

Le gouvernement Couillard s’oppose à l’application de la loi 101 aux organismes et entreprises de compétence fédérale au Québec — une proposition formulée par le NPD à Ottawa — de crainte d’entraîner des répercussions néfastes pour les francophones dans le reste du Canada.