Des immigrants francophones, attirés au Québec par la possibilité de pouvoir travailler en français, découvrent que plusieurs emplois exigent une connaissance fonctionnelle de l’anglais.
Dans la capitale, Québec, comme à Montréal, des immigrants francophones peinent à se trouver du travail parce qu’ils ne parlent pas l’anglais. Le gouvernement, disent-ils, aurait dû les aviser avant leur venue de l’importance de la langue de Shakespeare sur le marché du travail au Québec.