Je ne sais trop comment confesser ma faute, mais voici ce qu'il m'arrive : malgré de réels efforts, je ne parviens pas à comprendre pourquoi je devrais préférer "benchmarking" à "comparaison", "live" à "direct", "addict" à "accro". Et, chaque semaine ou presque - ne le répétez pas à Christophe Barbier -, je me désole de voir L'Express, mon cher Express, gloser négligemment sur la "safety culture" et les "fundraisers", sans oublier ces "flagships" où, avec un peu de chance, je pourrais croiser quelque "tomboy" (1).