Philippe Couillard, mercredi, n’a pas exclu la possibilité d’ouvrir la Charte de la langue française afin d’améliorer le visage français du Québec. Il faut s’en réjouir. Étant donné le peu de sensibilité du premier ministre pour la protection du français, on se serait attendu à ce qu’il écarte d’emblée cette possibilité. (À preuve, les crédits alloués à la défense de la langue ont baissé de 1,6 million, apprenait-on mercredi à l’étude des crédits.)