Ardent défenseur du fait français, le député néo-brunswickois Yvon Godin a fait part de ses inquiétudes en déposant une plainte officielle auprès du Commissariat aux langues officielles.
Il rappelle dans sa missive que la présence de la police fédérale s'apprête à devenir de plus en plus importante dans la foulée du remaniement subséquent à la fusillade survenue le 22 octobre dernier.